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Mon parcours pour mieux me connaître !

Photo de profil de Gaël Barbier, candidat aux élections municipales de 2026 à Bois-Colombes.

Gaël Barbier

Candidat aux élections municipales de 2026

 

45 ans

Marié et papa de deux enfants

Avocat - Directeur juridique

Élu municipal depuis 2014

Président de l'association Agir pour Bois-Colombes

Adjoint au maire délégué à l'urbanisme

et au patrimoine bâti entre 2020 et 2025

Conseiller intercommunal depuis 2020

 

Habite​​​ le quartier Nord depuis 2009

Le parcours de Gaël Barbier, candidat aux élections municipales 2026 à Bois-Colombes

De mes racines vosgiennes à Bois-Colombes

Je suis né le 17 janvier 1980 à Épinal et j’ai grandi dans un petit village des Vosges, Escles, à la campagne. Une enfance simple, marquée par la présence de mes grands-parents et, surtout, de ma grand-mère avec qui je passais beaucoup de temps pendant que mes parents géraient leur entreprise de taxis et d’ambulances. Très tôt, j’ai appris la valeur du travail : à douze ans, je répondais déjà au téléphone de l’entreprise familiale, et, dès mon permis en poche, je participais aux courses.

Ces racines modestes m’ont donné le goût de l’effort, de la proximité et du sens du service, des valeurs que je n’ai jamais perdues.

Un parcours d’études entre la France et l’Angleterre

Bon élève, je me destinais d’abord à la médecine avant de choisir le droit. Je rêvais d’être avocat plaidant, mais c’est le droit des affaires qui a ouvert ma voie, avec ses horizons internationaux. Après un cursus à Nancy, j’ai intégré le magistère de juriste européen des affaires, puis un master en droit à l’université de Leeds en Angleterre.

C’est à Nancy que j’ai rencontré Helen, devenue mon épouse. Ensemble, nous avons vécu plus d’un an en Angleterre. J’y donnais des cours de français à l’université et travaillais dans des centres de vacances pour enfants – un engagement que j’avais commencé en France, notamment auprès d’enfants en situation de handicap.

Une vie professionnelle toujours intense

En 2003, retour à Paris : j’ai préparé le barreau, suivi le cursus HEC/Paris 1 et obtenu trois diplômes la même année. J’ai travaillé au tribunal de commerce, puis comme avocat dans de grands cabinets d’affaires. Pendant plus de quinze ans, j’ai accompagné des clients internationaux sur des dossiers complexes, en menant de front plusieurs vies professionnelles.

Aujourd’hui, je suis directeur juridique corporate d’un grand groupe immobilier français coté, où je pilote les questions de gouvernance, de fusions-acquisitions et de stratégie d’entreprise.

Mon engagement pour Bois-Colombes

Avec mon épouse Helen, nous nous sommes installés à Bois-Colombes en 2009, dans un pavillon à rénover. Ce projet de maison, situé en plein secteur d’expropriation, m’a conduit à rencontrer le maire. De fil en aiguille, je me suis engagé à ses côtés et, en 2014, j’ai été élu conseiller municipal chargé de l’urbanisme. J’y ai trouvé ce que je cherchais : le contact direct avec les habitants, la simplicité du terrain, loin des grands bureaux parisiens.

C’est aussi l’année de naissance de notre premier fils. Aujourd’hui, nous avons deux enfants, scolarisés dans les établissements publics de la ville. Tous deux ont grandi à Bois-Colombes et pratiquent le handball depuis leur plus jeune âge : ce sont des Bois-Colombiens de naissance, attachés à leur ville.

En 2020, je suis devenu adjoint au maire en charge de l’urbanisme et du patrimoine bâti. J’ai contribué à moderniser les pratiques de la ville, notamment grâce au numérique, et j’ai conduit au niveau intercommunal l’élaboration du plan local d’urbanisme intercommunal.

Une rupture pour construire un nouveau projet

Au fil des années, j’ai vu la majorité se transformer, parfois au détriment de l’intérêt général. En 2025, j’ai dit non : non à un centre administratif pharaonique relié à l’Hôtel de ville par une passerelle, non à la destruction du parc des Tourelles et de ses arbres centenaires. Non, enfin, à une gouvernance pyramidale, éloignée des habitants, alors même que les services du quotidien se dégradaient.

Mon choix a été clair : rester fidèle à mes convictions. Préférer la sobriété, le respect du patrimoine, l’écoute et la participation citoyenne, plutôt que des projets coûteux ou imposés d’en haut.

Ce qui m’anime aujourd’hui pour Bois-Colombes

Voilà plus de dix-sept ans que je vis à Bois-Colombes. J’aime profondément cette ville, son équilibre, son esprit de village aux portes de Paris. Je sais ce qui a été bien fait et qu’il faut préserver, mais je sais aussi ce qui doit changer.

Je crois à une ville sobre mais ambitieuse, inclusive et innovante. Je crois à une gouvernance plus transparente et participative, qui fait confiance aux habitants. C’est ce projet, enraciné dans mon histoire personnelle comme dans mon expérience professionnelle, que je souhaite porter avec vous.

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